Une histoire de la logique

octobre 14, 2021 by - DominiqueWalter

Il y avait une tradition médiévale basée sur laquelle le philosophe grec ancien Parménide (Ve siècle avant notre ère) a créé la logique tout en résidant sur le rocher en Égypte. L’histoire est une histoire pure à 100%, mais elle reflète le fait que Parménide a été le tout premier philosophe à utiliser un argument prolongé pour ses opinions au lieu de simplement suggérer une vision de la réalité. Mais utiliser les disputes n’est pas la même chose que les étudier, et Parménide n’a jamais systématiquement développé ou étudié des concepts d’argumentation à part entière. Certes, il n’y a absolument aucune preuve qu’il était même au courant des directives implicites d’inférence utilisées pour montrer sa doctrine. Peut-être que l’utilisation de l’argument par Parménide a été influencée par la pratique des premières mathématiques du grec ancien parmi les Pythagoriciens. Par conséquent, il est vraiment significatif que Parménide ait connu un instructeur pythagoricien. Mais l’histoire du pythagoricisme de cette période antérieure est entourée de mystère, ce qui est difficile à comprendre à partir de l’histoire. Si Parménide n’était pas au courant des règles de base sous-jacentes à ses arguments, la même chose n’est peut-être pas réelle pour son disciple Zénon d’Élée (Ve siècle avant notre ère). Zeno était l’auteur de nombreux différends, reconnus collectivement comme « les paradoxes de Zeno », prétendant déduire des conséquences extrêmement dures d’un regard non parménide sur les problèmes et ainsi réfuter ce type de regard et finalement déterminer la position moniste de Parménide. La stratégie rationnelle consistant à établir une réclamation d’assurance en montrant que son opposition entraîne des conséquences absurdes est appelée reductio ad absurdum. Le fait que les disputes de Zeno étaient de toute cette forme suggère qu’il a reconnu et démontré le schéma de base. D’autres auteurs ont également contribué à un intérêt croissant des Grecs pour l’inférence et la preuve. Les premiers rhéteurs et sophistes – par exemple, Gorgias, Hippias, Prodicus et Protagoras (tous du 5ème siècle avant notre ère) – ont développé l’habileté de défendre ou d’attaquer une thèse par voie d’argument. Ce problème pour vos méthodes d’argumentation a parfois simplement conduit à des démonstrations orales de capacités de débat, ce que Platon appelait « éristique ». Mais il est également exact que les sophistes avaient joué un rôle déterminant dans la présentation de l’argumentation vers la place principale qu’elle occupait distinctement dans la pensée grecque. Les sophistes étaient, par exemple, parmi les premières personnes à avoir besoin que les promesses éthiques soient justifiées par des facteurs. Les enseignements spécifiques spécifiques des sophistes et des rhéteurs sont importants pour votre expérience antérieure de la logique. Par exemple, Protagoras aurait été le premier à distinguer différents types de phrases : questions, solutions, prières et injonctions. Prodicus semble avoir pris soin qu’il n’y ait pas deux termes qui signifient exactement la même chose. En conséquence, il a consacré beaucoup d’attention à soigneusement identifier et définir les définitions de synonymes évidents, tels que de nombreuses conditions morales. Socrate (vers 470-399 avant notre ère) aurait assisté aux conférences de Prodicus. Comme Prodicus, il a cherché les définitions des choses, en particulier dans le domaine de l’éthique et des principes. Ces recherches, menées au moyen de discussions et d’arguments tels que représentés dans les écrits de Platon (428/427-348/347 avant notre ère), ont renforcé l’intérêt de la Grèce antique pour l’argumentation et ont souligné l’importance du soin et de la rigueur dans l’usage de la langue. Platon poursuit le travail commencé par les sophistes et aussi par Socrate. Au sein du Sophiste, il a reconnu l’affirmation de la négation et a créé l’importante variation entre les verbes et les marques (y compris chacun des noms et des adjectifs). Il a fait remarquer qu’une déclaration complète (marques) ne peut pas consister en une seule identité ou un seul verbe mais nécessite au moins un de chacun. Cette observation indique que l’évaluation du vocabulaire avait créé au point d’enquêter sur les constructions internes des déclarations, ainsi que les relations des revendications dans leur ensemble à 1 autre. Ce nouveau développement serait élevé au rang d’art par l’élève de Platon Aristote.